Les poiriers sont généralement plus faciles à cultiver que d’autres fruits commerciaux, un bon choix pour les sols lourds argileux. Doyenné du Comice, ainsi va le nom complet de cette variété apparue au 19e siècle en France dont l’histoire est grande, communément appelé poirier ‘Comice’ (Pyrus communis).
Encore à ce jour, elle est renommée internationalement comme étant la plus fondante, aromatique et sucrée des poires européennes. À cause de sa texture extrêmement juteuse, elle se prête mal à la cuisson, sauf pour un beurre de poire ou une compote divine. On préfère la décliner en tranches fraîches dans des combinaisons classiques : fromages fins et crémeux tels le camembert, le brie ou le bleu, avec des noix ou encore accompagnées de cresson, menthe et oignons doux, d’épinards en salade ou en crêpes avec de la roquette et du sirop d’érable, sinon en granité avec une touche de miel et de romarin. Sa peau mince et délicate, fragile au transport, la destine à la culture à domicile.
À essayer à l’abri des vents, car il y a un risque que le poirier ‘Comice’ gèle au nord de Montréal malgré sa floraison tardive évitant la gelée printanière tardive. Elle résiste au feu bactérien. Pollinisation croisée.
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